Women De Bellum
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 En bordure des champs

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Genève Kennings
Agala miam-miam
Genève Kennings


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Loisirs : Tuer les pecors
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MessageSujet: En bordure des champs   En bordure des champs Icon_minitimeDim 14 Oct - 14:57

2.
...Avant


Genève un marteau de 20 kilos dans une main, un bouclier de 12 dans l’autre (sans parler de la corne de 6 kilos accrocher dans son dos et de son épaulière de poids a peu près égale) entrepris une vaillante brase coulées. Dans son dos Lyive regagnait les abysses, Jormungand a son bord. Les chats, c’est bien connu n’aime pas l’eau, et notre cher lynx ni faisait pas exception. Il préférait de loin l’aura magique du vaisseau qui permettait a ses occupants de voyager sous l’eau, sans être mouiller et sans être noyer. Genève voulut lui hurler une imprécation mais elle se ravisa (non elle n’a pas peur de blesser son matou elle a juste pas envie de boire la tasse !)

*Taapéteeuh*

Elle reprit son activité et bientôt ses pieds touchèrent la vase. Le souffle commençait à lui manquer mais elle progressait vite.
Elle sentit l’air effleurer ses cheveux, puis entendit les hurlement de joie des pécors, qui se transformèrent bientôt en hurlement désespère quand ils aperçurent la viking sortir de l’eau comme si de rien n’était. Se fut la débandade, hormis une poignet d’homme armée de fourche et de crucifix.

« Suppôt de Satan, retourne en enfer !»

Genève ne comprit, pas la signification de ses propos, mais pensa que c’était une parole de salut (oui les vikings aiment se saluer par de gentils phrase). Elle fit un pas. Celui qui tenait un crucifix a bout de bras s’évanouie.

« Cette succube à tuer un homme par son regard. Tuons cette gorgone ! »

Une petit bataille sans graviter sans suivit, quelque pecors perdirent la peu de cervelle qu’il avait et d’autre s’empalèrent sur les points acéré du bouclier, hormis ça aucun blessé grave n’est a déplorer.
Jormungand sorti piteusement de l’eau avec des feulements de chaton. Genève ricana devant la tête du pauvre animal. Et parti vers le village.


Suite ...
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Arod
Clochard n°1
Arod


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MessageSujet: Re: En bordure des champs   En bordure des champs Icon_minitimeLun 20 Avr - 18:00

4-
Avant ...



Les gradiens avaient signalé leur fuite, mais Arod et Sybile avaient maintenant atteint les champs a l'extérieur de Foulkan. L'aube pointait son nez a l'horizon, donnant l'impression que tous les champs de blés aux alentours s'embrasaient. Mais Arod s'en fichait, d'ailleurs, ce n'est même pas lui qui décidait ou ils devaient aller, c'est Fangorn qui choisissait seul ou il allait, et part chance, il suivait Asufel et Sybile. Arod pensait a Eve. En fait, il n'était même pas sur de son nom, il y avait eu tellement de chose en si peu de temps, tellement d'inversement de situation et d'opinion qu'il était un peu perdu.

"On fait une pause si tu veux, y'a des bois la haut, on se met a l'orée et on se fait une petite pause avant de repartir."

Sybile fit sortir Arod de ses pensées lugubres ou il voyait la petite fille pendue haut et court, ressemblant étrangement a une poupée désarticulée. Il secoua la tête et chassa cette image de ses pensées, acquiesçant Sybile.

"Oui je suis un peu fatigué, mangé quelque chose ne me fera pas de mal."

Il sourit a sa soeur et ils finirent le petit bout de trajet qui les séparait de l'orée de la forêt en faisant une course, les chevaux bien reposés et nourient ravis de pouvoir se dégourdirent s'en donnèrent a coeur joie en redoublant de vitesse a chaque fois que l'un s'approchait de l'autre. Le vent fouettant leur visages, les 2 nomades n'avaient pas ressenti ce sentiment de liberté depuis un bon moment, et tous 2 rièrent aux éclates sans pouvoir se contenir, criant de joie.
Une fois arrivés, chose qui ne prie pas plus de 10 minutes, Arod mis pied a terre et parti chercher du bois. Il du s'aventurer loin dans la forêt pour pouvoir trouver du bois a brûler, mais cela ne lui plaisait guère de s'éloigner autant du camp, et ses craintes n'étaient pas sans fondements. Alors qu'il revenait en courant vers le campement, Arod entendit des épées qui s'entrechoquaient. Prit de panique, il lacha son bois et dégaina Narsil qui était confortablement installée dans son dos, sortant de la forêt lame haut tel un démon. Sybile était aux prises avec un homme bedonnant munie d'une arbalète, mais le "pauvre" ne savait pas a qui il s'ataquait et reçu un carreau juste entre les 2 yeux. Sybile avait du piquer une arbalète a un autre déja mort. Les chevaux piaffaient mais ne semblaient pas effrayé. Lorsque Asufel eu l'occasion, il bondit vers sa maitresse qui se mit en selle comme jamais elle n'avait fait, puis les 2 partirent au triple galop.

"Sors toi de la on se retrouvera lorsque le moment sera venu !!!"

Pour l'instant, Arod se souciait plus de rester en vie plutôt que de se sortir de ce guêpier. Comment les hommes de Foulkan les avaient retrouvé si vite ? Après tout, ils étaient parti rapidement de la cité et même si l'alerte avait été donnée, le temsp de mobiliser et d'nevoyer les hommes, ils auraient du perdre leur trace depuis un moment.

*Ou alors c'est elle qui nous a dénoncer. non c'est imossible, elle nous a dit vers le Sud et nous sommes partir vers l'Est !*

Arod repoussa 2 hommes, mais un troisième l'assoma par derrière. Fangorn hennit comme un dément et fonça sur l'homme, le piétiant, brisant sa colonne d'un coup sec. Fou de rage, le cheval entreprit de mordre, frapper et blesser tout ce qui était a sa porté, protègeant son maitre. Mais une corde, puis une deuxième et une troisième immobilisèrent le cheval. D'autres hommes hissèrent Arod sur le dos du cheval fou, car personne ne voulait le monter ni même le tenir pour le ramener, et il se calma aussitôt. Tous ces hommes n'étaient que des hommes de main. Lorsqu'Arod reprit vaguement connaissance, il vit que le soleil était très haut dans le ciel et qu'il avait regagné les portes de Foulkan. Malgré la chaleur intenable, un homme encapuchonné se tenait devant les portes et le chef des hommes d emains mit pied a terre et le salua.

"L'autre s'est échappé, mais il retse au moins celui-ci."

La silhouette opina et le convoie entra dans la ville. Contrairement a ce qu'il aurait pensé, Arod ne fut pas conduit aux cachots, maéis dans un tout autre endroit, a l'aspect propre et sain qui sentait bon. L'un des hommes le jeta a terre et une femme, très belle mais qui devait être aussi noble qu'elle était vierge, se mit a crier sur la brute de soldat.

"Bah vas-y ! T'as qu'a le faire a ma place pendant que tu y est pauv' brute ! C'est déja pas assez dur c'qu'il va lui arriver, faut en plus que tu l'humilie ? Tu sais a ta place je serais gentil avec lui, de peur que cela ne m'arrive a moi aussi !"

Arod se doutait que quelque chose d'horrible allait arriver, mais il ne voulait pas savoir de quoi il s'agissait. Que ce soit un bain d'huile bouillant ou le supplice de la roue, peu lui importait. Etant a Foulkan, il espérait que ce fut comme la première fois, que la jeune fille de bonne famille vienne a son secours. C'était très dur pour sa fierté, mais sa conscience lui imposait : il avait besoin d'Eve.
Une fois les hommes parti, il était seul face a cette femme, qui avait un certain charme, même s'il était un peu vulgaire avec son corset très échancré. il était toujours ligoté, mais même s'il avait été libre, il 'naurait pas voulu partir, cette femme avait quelque chose de rassurant.

"Allé vient mon gars, je suis désolée pour c'que j'vais devoir te faire, mais c'est ça ou ma vie, donc égoistement, mon choix est déja fait. Mais j'te promet que ça ira vite."

Soupirant et se sentant mal a l'aise, Arod la suivi dans sa maison qui en fait était, il ne l'avait pas remarqué, jointe a ce qui sembalit être un monastère ou un couvent, il n'aurait su le dire. Néanmoins, il savait ou il était : il était de retour a Foulkan ...


Après ...
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